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Association Soleil Marmailles

Développer par l'éducation et la santé

amparihibe

La lettre de Juin d'Amparihibé ( Amparihibe June )

Publié le 1 Juillet 2010 par David dans AMPARIHIBE


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La venue d'un membre de l'association est souvent l'occasion d'offrir un repas amélioré aux enfants d'Amparihibe. Ma visite début juin n'a pas fait exception. Nous avons organisé un déjeuner qui sortait un peu de l'ordinaire. Les élèves de l'école Margarett ont pu manger à leur faim et apprécier un peu de viande... C'était la fête pour le plus grand bonheur des petits.

 


When a member of the association comes to visit the village, it is often an opportunity to provide an " improved meal " for the children in Amparihibe. My visit in early June was no exception. We organized a lunch which came out a little bit from ordinary  . Childre from the Margaret school had  enough to eat and enjoyed a little piece of meat ... It was a party for the pleasure of the children.


Tiana RAZAFINTSALAMA

Vice président Soleil Marmailles

 

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Le champ des enfants / The field of the children

Publié le 1 Juillet 2010 par David dans AMPARIHIBE



Le champ des enfants lors de ma venue au mois de mars 2010. Première culture de la saison. Le labour a été fait par les parents d'élèves. Nos agriculteurs en herbe ont repiqué le riz selon les nouvelles méthodes de riziculture intensif. Pas de pesticide, juste de la technique agricole.


The field of children during my visit in March 2010. First crop of the season. The plowing was done by the parents. Our littles farmers transplanted rice as new methods of intensive rice cultivation. No pesticide, just agricultural technique.

 

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Le champ de maïs des enfants derrière l'école lors de mon passage en mars. Là encore les parents d'élèves ont labouré. Les élèves ont semé et entretenu le champ. La fertilisation du sol devra être améliorée lors de la prochaine saison. Fertilisation bio ! La préparation du compost se fait pendant l'hiver austral en vu de la saison prochaine.

 


The cornfield behind the school children during my visit in March. Again the parents plowed it. Students planted and maintained the field. The soil fertility should be improved in the next season. Organic fertilizer! Compost has been prepared during the austral winter in light of the upcoming season.

 

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Juin 2010, deuxième culture de la saison. Les élèves posant fièrement devant leur champs, avec les tee-shirts tous neufs offerts par Soleil Marmailles ! L'enseignant agricole, Monsieur René, un villageois ayant de bonnes connaissances des techniques agricoles, est à leur côté.

 

 

 
June 2010, the second crop season. Children posing proudly in front of their fields with brand new t-shirts offered by Soleil Marmailles! The agriculture teacher, Mr. René, a villager with a good knowledge of agricultural techniques, posed with them.

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Les résultats de la moisson de la première culture. Une partie du riz a été consommée par les élèves. Tous les vendredis les enfants font un repas à l'école avec le riz « qu'ils ont produit ». La récolte du maïs et des haricots (petit sac) a été moins bonne...

 

 

 The results of the harvest from the first crop. Some of the rice was consumed by the children. Every Friday the children a school meal with rice "they produced." The harvest was not as good as rice regarding corns and bean. ( in the small bag )  

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Un grand merci aux Inner Wheel ! A big thank you to the Inner Wheel !

Publié le 4 Octobre 2009 par David dans AMPARIHIBE

Une fois de plus nos généreuses donatrices n'ont pas manqué le rendez-vous à Amparihibe. Elles étaient accompagnées cette fois par le Rotary Club ! Comme à leur habitude, elles ne sont pas venues les mains vides. Elles ont apporté des effets scolaires pour notre école, bien plus qu'il n'en fallait ! Ce qui nous a permis de donner plus de la moitié à l'école publique qui en a aussi bien besoin. Ces dons sont inestimables... Maintenant la balle est dans notre camp. Elles nous ont donné les moyens, à nous de faire avancer les choses. Nous leur demandons de revenir l'année prochaine pour constater les résultats. Nous prendrons notre revanche pour leur accueil qui cette fois a été un peu en deça de l'année précédente pour diverses raisons... Encore une fois un grand merci et rendez-vous l'année prochaine. Leur venue sera pour nous une source de motivation dont nous avons besoin...

 

Once again our generous donors did not miss the appointment with Amparihibe. They came this time with the Rotary Club! As usual, they did not come empty handed. They brought school supplies for our school, more than enough! This enabled us to give more than a half of it to the public school who also needs it. These gifts are priceless ... Now the ball is in our court. They gave us the means, we have to make things happen. We ask them to come back next year to see the results. We will take our revenge since the way we received them was this time  a bit below the way we received them last year for various reasons ... Once again a big thank you and see you next year. Their arrival will be for us a source of motivation we need ...

 

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Mise en place du business social : Nanocrédit / Setting up a social business : the nanocredit.

Publié le 23 Septembre 2009 par David dans AMPARIHIBE

 

Nous avons mis en route un nouveau projet à Amparihibe. Nous sommes partis de 2 problèmes majeurs que connaissent les paysans malgaches : l'absence de fonds pour démarrer et une mauvaise  connaissance des techniques agricoles modernes. Le principe de base est le même que les microcrédits mais les sommes investies pour chaque famille est de l'ordre de 1 euro... Nous pouvons donc parler de nanocrédits !

 

« L'absence de fonds » est l'éternel refrain que nos paysans nous ressassent indéfiniment. En fait l'expérience montre que lorsque ce « fonds » est donné aux paysans il est rare que leur situation s'améliore. Ils le disent eux même : « si on nous donne de l'argent nous l'utilisons pour ce qui nous manque dans notre foyer ». Ce capital va ainsi rarement vers l'investissement prévu mais vers un bien de consommation courante. L'idée est donc d'apporter des semences et non de l'espèce.

 

Le deuxième souci est qu'il est très difficile de leur inculquer les techniques agricoles modernes. Plusieurs freins entravent ce progrès. D'abord la peur de prendre des risques, les techniques ancestrales sont connues. De plus, il faut apporter la technologie au fin fond de la brousse. Enfin, les nouveaux procédés nécessitent un minimum de rigueur que les paysans n'ont pas.

Ainsi nous avons élaboré un plan. Nous annulons le « risque » par l'apport de la semence. Les nouvelles méthodes sont essayées avec des semences qu'ils n'ont pas achetées, un échec n'aura aucune conséquence sur leur quotidien. De même, M. Tsimba, ingénieur agronome, viendra selon un calendrier bien défini, apporter son savoir-faire aux agriculteurs. Enfin, pour habituer  les ruraux à la rigueur nous commençons par un petit champ de 100 m2.

 

Les paysans sont très enthousiastes. Généralement ça commence toujours comme cela. Je vous tiens au courant...

 

 

 


We started a new project in Amparihibe. We started with two major problems faced by Malagasy farmers: lack of funds to start and poor knowledge of modern farming techniques. The basic principle is the same as the micro but the amounts invested in each family is of the order of 1 euro ... So we can talk about nanocrédits!

 "Lack of funds" is the eternal refrain that our farmers keep telling us indefinitely. In fact, experience shows that when this "fund" is given farmers it is rare that their situation improves. They themselves say : "if you give us money we use for what we lack in our home." This capital will thus rarely go to the planned investment but to a consumer good. The idea is to bring seeds, and no cash.

 The second concern is that it is very difficult to teach them modern agricultural techniques. Several brakes hinder this progress. First, the fear of taking risks, ancestral techniques are known. In addition, you must bring technology to the depths of the bush. Finally, new methods require a minimum of rigor that farmers do not have.

So we devised a plan. We cancel the "risk" by providing the seed. The new methods are tested with seeds they have not purchased a failure will not affect their daily lives. Similarly, Mr. Tsimba, who is an agronomist, will come to a defined schedule, provide know-how to farmers. Finally, to get used to the rural rigor we start with a small field of 100 m2.

 Farmers are very enthusiastic. It usually always starts like this. I'll let you know ...

 

Un paysan signant le contrat.../ A peasant signing a contract.

Monsieur Tsimba ingénieur agronome

Monsieur Tsimba, agronomist.

 

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SOCIAL-BUSINESS

Publié le 23 Septembre 2009 par David dans AMPARIHIBE

 

Il s'agit d'un terme inventé par le Pr Muhammad Yunus. Le Pr Yunus a reçu le prix Nobel de la Paix en 2006 pour avoir créé les microcrédits au Bangladesh, la GRAMEEN BANK. Ces prêts accordés aux pauvres ont permis de sortir de la misère des millions de Bangladais. Il semblerait même que le Bangladesh soit un des seuls pays en voie de développement qui atteigne les objectifs du millénaire pour le développement fixé par l'ONU pour 2015.

 

Malgré un réseau de micro-crédits assez important, Madagascar ne semble pas avoir bénéficié de la même croissance économique que le Bangladesh. Ceci peut s'expliquer par un fait majeur : dans le principe de base, l'octroi d'un microcrédit n'est pas soumis à une garantie. A Madagascar, les organismes de microcrédits exigent une hypothèque qui freine l'accession à l'organisme de prêt des pauvres. De plus la mauvaise organisation des maisons de crédits malgaches fait que les sommes demandées sont débloquées tardivement dans le calendrier agricole.

 

Le Pr Yunus a élaboré un nouveau concept qui m'a particulièrement intéressé : le social-business. Un terme dont les deux noms semblent antinomiques. Il décrit le principe de ce « business » dans son ouvrage :  Vers un capitalisme nouveau . Schématiquement, il s'agit d'entreprises comme nous le concevons habituellement mais dont la particularité est qu'elles ne cherchent pas « un profit maximum » mais la « production d'avantages sociaux ». Ces sociétés ne rémunèrent pas ses actionnaires mais réinvestissent leurs bénéfices pour agrandir l'entreprise ou partagent leurs dividendes aux salariés. De plus, elles élaborent et vendent des produits qui améliorent les conditions de vie des pauvres.

 

Jusqu'à ce jour, les tentatives de développement d'Amparihibe étaient basées sur mon expérience personnelle que j'ai acquis au contact des paysans que j'essaie d'aider. Certaines fonctionnent, d'autres pas. Mais ces 5 ans à leur contact m'ont permis de mieux les connaître. Le Pr Yunus nous  propose un principe qu'il a expérimenté. Je pense que l'on peut l'adapter pour Amparihibe.

 

Parmi les problèmes des paysans d'Amparihibe on peut en retenir deux majeurs, qui en fait n'est qu'un et un seul problème. Le premier est, après la moisson, les paysans vendent une grande partie de leur culture. Le riz qui leur reste ne suffit pas à subvenir à leur besoin jusqu'à la récolte suivante. Ils rachètent alors le paddy à des prix bien plus élevés que lorsqu'ils l'ont vendu. Le deuxième problème est en rapport avec le premier, ils doivent racheter la semence pour la nouvelle saison toujours au prix fort.

 

Il serait intéressant de créer une sociale-business qui répondrait à ces deux problèmes. Cette société pourrait :

            - en début de saison, accorder des microcrédits sans garantie  aux paysans,

            - lors de la moisson, acheter une partie de la récolte des paysans,

            - pendant la période de soudure, revendre le riz à prix raisonnable.

 

Les sommes que l'on prête à un paysan sont modestes : de l'ordre de 5 à 10 euros. Le professeur Yunus avait commencé ses microcrédits avec 27 dollars pour 4 pauvres... Avec 200 euros on pourrait aider une vingtaine de familles en début de saison. On rachèterait une partie de leur production avec 200 euros supplémentaires que l'on leur revendrait lors de la période de soudure. Bien sûr, le système comme toute entreprise doit être autonome.

 

 

 

 

 

 

 

It is a term coined by Professor Muhammad Yunus. Professor Yunus received the Nobel Peace Prize in 2006 for creating microcredit in Bangladesh, the Grameen BANK. These loans to poor people have helped    millions of Bangladeshis to go out from poverty. It even seems that Bangladesh is one of the only countries to reach development goals of the Millennium Development Goal of the United Nations in 2015.

 Despite a fairly extensive network of micro-credits, Madagascar did not seem to have enjoyed the same economic growth as Bangladesh. This can be explained by one major fact: in the basic principle, the granting of microcredit is not subject to a guarantee. But in Madagascar,  organizations which lend micro credits require a mortgage which impedes the access to the lending agency to the poor. Moreover, the lack in the organization of   Malagasy credits lenders that the amounts requested are released too tardily  in the agricultural calendar.

Professor Yunus has developed a new concept that particularly interested me: the social business. A term that  may appear contradictory. It describes the principle of the "business" in his book Towards a new capitalism. Basically, it is business as we usually conceive it but whose characteristic is that it do not seek "maximum profit" but "production of social benefits." These companies do not pay its shareholders back but reinvest their profits to expand the business or share dividends to employees. In addition, they develop and sell products that improve the lives of the poor.

To date, attempts to develop Amparihibe were based on my personal experience I have gained in contact with farmers that I try to help. Sometimes it works, sometimes it does not. But these 5 years of expericence enable me to know them better. Professor Yunus proposes a principle he has experienced. I think it can be adapted to Amparihibe.

 Among all the problems of farmers in Amparihibe, one may highlight two of them, which is in fact a single  problem. The first is, that after the harvest, farmers sell a large part of their culture. Their remaining rice is not enough to meet their needs until the next harvest. They then bought the paddy much higher than when they sell it in itially. The second problem is related to the first, they have to buy the seed for the new season really expensively.

 It would be interesting to create a social-business that would meet both these problems. This company could:
             - At the beginning of the season, giving micro credits with no caution to peasants.  
             - At harvest, buy a portion of the crop farmers,
             - During the lean period, sell rice at reasonable prices.

 The amounts that we lend to a farmer are modest in the range of 5 to 10 euros. Professor Yunus started his micro with $ 27 for 4 poor ... With 200 euros, we could help twenty families early in the season.We will buy a part of their production with 200 added euros, and we will sell it back during the lean season. Of course, this system as an company has to be autonomous.

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Juillet 2009 : le nouveau visage d'Amparihibé / July 2009 : the new face of Amparihibe

Publié le 29 Août 2009 par David dans AMPARIHIBE

Denis, membres trés actif, a passé quelques jours au village d'Amparihibé.
le village a vraiment bien évolué...
les douches sont finies...
jugez par vous même!

Un grand merci à tous pour votre soutien, en particulier à l'association Semigany et les Inner Wheel

 

Denis is a very active member, who spent a few days in the village of Amparihibé.
The village has really changed ...
The showers are finished ...
You can see it !
A big thank you to all of you for your support, especially to the Semigany association and the Inner Wheel















Amparihibé dans son ensemble : le village à gauche et les améliorations grâce à l'association

Ampaharibé as a whole : left picture : the village and the improvements thank to the association.
















L'école Margarette avec sa courageuse institutrice Faratiana, qui a la charge difficile de scolariser les 70 marmailles, ce n'est pas simple tous les jours!!!

The Margarette school  with its courageous teacher Faratiana, which has the difficult task of educating the 70 Marmailles, it's not easy every day !!!


















Les Bungalows...
















           De la Terre, une machine à fabriquer des briques et le      puit au centre pour avoir de l'eau, permet de réaliser des  briques, stocker à droite, et de réaliser le batiment en arrière  plan.
Là, ce sont les douches qui viennent d'être finies.


Soil, a machine which makes bricks and the well in the center for water, allows us to make bricks, ( in the right of the picture ), and carry out the building in the background.
Here, it is the showers that have just been finished.



Le four solaire, les 2 éoliennes font partis du paysage quotidien d'Amparihibé.

The solar oven, 2 wind turbines are part of the daily landscape Amparihibé.




















Les Douches construites!!!

The showers !!!















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Amparihibé : La période de soudure / The lean season

Publié le 26 Décembre 2008 par David dans AMPARIHIBE

Le mois de novembre est difficile pour les paysans. Il s'agit de ce que l'on appelle la période de soudure. Les réserves en riz sont épuisées et la moisson ne se fera que dans quelques semaines.

Le problème vient du fait que les paysans vendent une grande partie de leur récolte juste après la moisson.

Pendant cette période, l’abondance des denrées diminue les prix et les paysans vendent à bas prix. Lors de la période de soudure la rareté des denrées fait flamber les prix.

Les paysans rachètent alors à prix fort du riz qu'ils ont vendu à bas prix...

Afin d'éviter cette spéculation le groupement « Margarett » a décidé d'acheter aux paysans le riz au moment de la moisson au prix habituel et de le revendre à prix modéré en période de soudure.

La vente aux familles en période de soudure sera limitée en quantité afin d'éviter l’achat au groupement à prix bas et de revendre à prix élevé à d'autres paysans.

 


November is a difficult month for farmers. This is what the period is called " the lean season ". Rice stocks are all spent and the  harvest will only be in a few weeks.
The problem is that farmers sell much of their crop immediately after the harvest.
During this period, the abundance of food decreases the price so farmers sell in a low price. During the lean season scarcity of commodities caused the prices to soar.
Farmers buy really expensively the rice they initially sold in a low price ...
To avoid this speculation, the group "Margarett" decided to buy rice to farmers at harvest at the regular price and to sell it back for reasonable price during the lean period.
Selling to families during the lean period will be limited in order to avoid buying to the group in a low price and sell it to other farmers in an high price.

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Amparihibé : L'Ecole Margarett 2 / Margarett School 2

Publié le 26 Décembre 2008 par David dans AMPARIHIBE

L'école Margarett a le vent en poupe... Malgré les 70 élèves déjà inscrits les demandes ne cessent d'affluer.

Nous pensons construire une deuxième salle de classe. La coopération française propose un soutien financier pour les projets de développement.

Nous travaillons avec une association d'Antananarivo : « Marisol Education » pour monter le dossier...

Nous avons bon espoir que le projet aboutisse.

 

The Margarett school became really popular ... Despite the 70 students already enrolled, new requests keep coming. We are tinking about building a second classroom. French cooperation will offer us financial support for the development of new projects. We work with an association  from Antananarivo "Marisol Education" to mount the folder ... We are optimistc regarding the fact that the project will succeed.

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Amparihibé : l'Ecole Margarett / Margarett School

Publié le 26 Décembre 2008 par David dans AMPARIHIBE

Il y a maintenant environ 70 élèves à l'école Margerett. Les plus jeunes ont cours le matin et jardin pédagogique l'après-midi. Les moins jeunes ont cours pratiques d'agriculture le matin et classe l'après midi.

Après une matinée dans les champs les élèves partagent un petit repas histoire de retrouver des forces.

L'équipe pédagogique est composée de deux institutrices et d'un moniteur d'agriculture.

 


There are now about 70 students in the Margarett school . The youngest have class in the morning and "educational garden" in the afternoon. The older have agricultural practices in the morning and class in the afternoon.
After a morning in the field, students share a small meal just to find strength.
The educational team consisted in two teachers and an agriculture instructor.

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Amparihibé : Un Puit pour le dispensaire / A well for the clinic

Publié le 25 Décembre 2008 par David dans AMPARIHIBE

Encore un grand merci aux Inners Wheel qui s'intéressent de près à notre petit village.

Grâce à leur générosité nous avons pu construire un puits pour le dispensaire d'Amparihibe.

 Il est prévu d'installer une pompe d'adduction d'eau fonctionnant à l'énergie solaire.

 

A big thank you to the  Inners Wheel who are very interested in our little village.  

Thanks to their generosity, we were able to build a well for the dispensary Amparihibe.

It is planned to install a water supply pump powered by solar energy.


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